Diwan dans les médias
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Lannion. Après le kig ar farz, un marché d’artisans créateurs
Source : - Le Télégramme
Date de parution le 02/12/2019Le kig ar farz a emporter, organisée dimanche 8 décembre, par le comité de soutien à l’école Diwan de Lannion, a remporté un beau succès, avec la vente de 220 parts. -
Auray. Le calendrier Diwan présenté à la « Foar an traoù kozh »
Source : - Le Télégramme
Date de parution le 02/12/2019Les parents et les amis de Skol Diwan An Alré se sont bien mobilisés pour la « Foar an traoù kozh » (vide-greniers) organisée, dimanche 1er décembre, à la salle Émeraude de Locoal-Mendon. -
Le Quimper de… Arno Élégoët, parent d'élève Diwan
Source : Matthieu Gain - Actu.fr
Date de parution le 01/12/2019Prof de musique à Quimper (Finistère) et bretonnant. En 1999, Arno Élégoët a fondé la maison d’édition associative Bannoù-heol. En 2018, son livre-CD Kan ar Bed a fait un carton.
Arno Élégoët enseigne la musique au collège Saint-Thérèse de Quimper (Finistère). En 1999, ce bretonnant a fondé la maison d’édition associative Bannoù-heol. [...]
[...] Le breton était la langue de mon père et de mes grands-parents. Il était important de le transmettre à mes enfants, scolarisés à l’école Diwan de Kerfeunteun. Le réseau doit s’étendre à Quimper avec l’ouverture d’un 3e site à la rentrée prochaine.
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Les défenseurs des langues régionales lancent l'opération "Blanquer encerclé"
Source : Michel Feltin-Palas - L'Express
Date de parution le 30/11/2019Une manifestation se tient samedi midi près du ministère de l'Education nationale pour protester contre le statut des langues dites "régionales" depuis la réforme du bac.
Ils viennent de Brest, d'Ajaccio, de Saint-Jean-Pied-de-Port, de Strasbourg, de Toulouse ou de Toulon. "Ils" : les défenseurs du breton, du corse, du basque, de l'alsacien ou de l'occitan, qui ne résolvent pas à les voir disparaître. Leur objectif : encercler le ministère de l'Education nationale, samedi midi. Leur revendication : obliger Jean-Michel Blanquer, maître des lieux, à revenir sur sa réforme du bac qui, selon eux, a un peu plus mis à mal l'enseignement de ces langues.
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Près de 500 personnes défilent à Paris pour la défense des langues régionales
Source : Thierry Peigné - France 3 Bretagne
Date de parution le 30/11/2019Les Bretons, près de 200, formaient une bonne partie du cortège qui a manifesté ce samedi dans les rues de Paris pour la défense des langues régionales. En ligne de mire, la réforme du lycée et du baccalauréat qui met à mal l'enseignement des langues régionales, conduisant "à accélerer leur déclin".
C'est à bord de trois cars, que plus de 150 bretonnants se sont rendus à Paris pour manifester leur attachement à la langue bretonne. Sur le parvis de la basilique Sainte-Clothilde, ils ont été rejoints par une cinquantaine de sympathisants de la diaspora bretonne et par près de 300 autres défenseurs de langues régionales venus des quatre coins de la France représentant le corse, le basque, l'alsacien, l'occitan... Ils répondaient tous à l'appel du collectif "Pour que vivent nos langues", regroupant une quarantaine d'associations d’enseignement et de promotion des langues régionales en France.
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Langues régionales : près de 500 personnes manifestent vers le ministère de l'Éducation nationale
Source : - France Bleu
Date de parution le 30/11/2019Près de 500 personnes ont manifesté près du ministère de l'Éducation nationale samedi à Paris. Le rassemblement, organisé par le collectif "Pour que vivent nos langues" visait à défendre les langues régionales, menacées, selon les participants, par la réforme du bac.
Près de 500 personnes ont manifesté samedi près du ministère de l'Éducation nationale, devant la balistique Sainte-Clotilde, dans le 7e arrondissement à Paris pour exprimer, selon les participants, le danger pour les langues régionales que représente la réforme du lycée et du baccalauréat. Les nouvelles mesures mettent en effet en concurrence frontale le basque, le corse, le breton, catalan, créole, alsacien avec d’autres langues vivantes.
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À Paris, 400 défenseurs des langues régionales
Source : Stéphane Bugat - Le Télégramme
Date de parution le 30/11/2019Venues des différents coins de l’Hexagone, plus de 400 personnes ont rallié Paris, ce samedi, afin de défendre les langues régionales.
Un spectacle coloré et plutôt débonnaire, à grand renfort de drapeaux occitans, basques, catalans, corses, etc., avec une forte composante d’étendards bretons. Plusieurs centaines de personnes se sont données rendez-vous, samedi matin, à Paris, à l’appel du collectif « Pour que vivent nos langues », déjà à l’initiative d’une pétition qui affirme que « l’État français, en dépit de multiples condamnations par l’ONU, continue son œuvre de destruction du patrimoine immatériel que sont nos langues et nos cultures ».
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Skol Diwan Pempoull
Paimpol. 75 artisans exposent au marché de Noël
Source : - maville par Ouest-France
Date de parution le 30/11/2019Organisée par l’école Diwan, la 24e édition du marché de Noël de Paimpol a ouvert ses portes samedi 30 novembre. L’occasion de découvrir le talent de 75 artisans jusqu’au dimanche 1er décembre au soir.
« C’est le plus vieux marché de Noël de Bretagne. » Pour sa 24e édition, le marché de Noël de l’école Diwan du pays de Paimpol revient avec 75 exposants, samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre.
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Éducation. Attention, langues régionales en péril
Source : Frédéric Jourdan - Ouest-France
Date de parution le 30/11/2019Venus de Bretagne, du Pays basque, de Corse, d’Alsace, ils étaient plus de 500, samedi 30 novembre, à défendre les langues régionales devant le ministère de l’Éducation nationale.
Dès dix heures du matin, sous un soleil de novembre, les drapeaux se déploient sur le parvis de la basilique Sainte Clotilde à Paris. « On a pris le car à 1 h 15 du matin », racontent Sophie Peron, de l’association An Div Yezh Breizh, et son fils Ewen, qui faisait flotter l’hermine entre les têtes de Maure corse et le Lauburu basque. [...]
[...] « C’est un grand progrès de réunir tout le monde, se réjouit Stéphanie Stoll, présidente du réseau breton Diwan. Nous avons décidé de structurer et d’agrandir le comité pour recenser les problèmes de terrain et déposer une liste précise au ministère de l’Éducation nationale. » Longtemps sœurs ennemies, le réseau Eskolin, qui réunit les écoles de langues régionales privées, et la Flarep (1) ont décidé de mieux travailler ensemble. « Nous souhaitons vraiment que la République comprenne que plus d’une langue peut habiter en nous et que ce sera une richesse pour tous », poursuit Stéphanie Stoll. Prochaine étape, et prochain espoir : arriver au vote d’une loi sur la promotion et l’usage des langues régionales.
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VIDEO. Langues régionales. Manifestation devant le ministère de l’Éducation nationale
Source : - maville par Ouest-France
Date de parution le 30/11/2019Plus de 500 personnes sont rassemblées ce samedi 30 novembre 2019, à Paris, devant le ministère de l’Éducation nationale. Venues de Bretagne, de Corse, d’Occitanie, d’Alsace, du Pays-Basque… elles manifestent contre la réforme du lycée et du baccalauréat qui « fragilise » l’apprentissage des langues régionales.
La réforme du lycée et du baccalauréat est dans le collimateur des défenseurs des langues régionales. 500 d’entre eux manifestent ce samedi 30 novembre, à Paris, contre cette réforme qui met les langues régionales en concurrence avec d’autres langues vivantes, mais avec un jeu de coefficients qui est défavorable au breton, au corse, à l’alsacien…
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Jean-Michel Blanquer et sa « sympathie pour la langue bretonne »
Source : - Le Télégramme
Date de parution le 30/11/2019À propos du rassemblement des défenseurs des langues régionales, ce samedi, à Paris, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, refuse le procès qui lui est fait.
C’est l’un des conseillers de Jean-Michel Blanquer qui a reçu, ce samedi, une délégation des défenseurs des langues régionales. Quant à Jean-Michel Blanquer, il se souvient que le lycéen qu’il fut s’était inscrit à l’apprentissage du breton. « Ce qui traduit à la fois mon attachement à la Bretagne et ma sympathie pour la langue bretonne », nous a-t-il confié cette semaine.
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Paimpol. On fête Noël avec Diwan pour la 24e fois
Source : - Le Télégramme
Date de parution le 30/11/2019Soixante-quinze artisans se partagent la salle des fêtes et un chapiteau sur le quai Loti pour le 24e marché de Noël de l’école Diwan. Et ça dure encore tout ce dimanche.
Philippe Martel, président de l’association qui organise les événements au profit de l’école Diwan de Paimpol se fait aider de Silvi Donnart et Michaele Munier pour donner quelques chiffres exacts : 75 artisans, 24e marché, avec des premières éditions qui se déroulaient à la salle des fêtes de Plounez, et même sous chapiteau place de Bretagne, avant de trouver sa place actuelle chaque année début décembre, quai Loti.
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Les défenseurs des langues régionales veulent faire entendre leur colère
Source : Marie-Estelle Pech - Le Figaro
Date de parution le 29/11/2019Alors qu’elles sont menacées de disparition, la réforme du lycée porterait un coup fatal à leur enseignement.
Plusieurs associations militant pour les langues régionales se réuniront samedi près du ministère de l’Éducation pour dénoncer une situation devenue selon eux «catastrophique» depuis la réforme du lycée de Jean-Michel Blanquer. Elles affirment avoir noté, cette année, une diminution allant de 20 à 50% des effectifs d’élèves en occitan dans certaines classes, et de 30% en corse.
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Langues régionales : une mobilisation pour les défendre ce samedi à Paris
Source : - France Bleu
Date de parution le 29/11/2019La réforme du bac menace les langues régionales, l'occitan, le basque, le breton, le corse, l'alsacien, le flamand, le catalan, les créoles. Une manifestation est prévue ce samedi devant le ministère de l'Education à Paris organisée par le collectif "pour que vivent nos langues".
C'est un cri de colère que veulent pousser les membres du collectif "pour que vivent nos langues". Ils estiment ne pas être du tout entendus par le gouvernement et principalement par le ministre de l'Education Nationale Jean-Michel Blanquer. Les défenseurs des langues régionales se donnent rendez-vous samedi 30 novembre à partir de 11h devant le ministère de l'Education Nationale à Paris. Les langues régionales sont nombreuses en France et résistent, l'occitan, le basque, le breton, le corse, l'alsacien, le flamand, le catalan, les créoles et quelques autres, mais "elles figurent toutes à l'inventaire des langues menacées de disparition établi par l'ONU" selon le collectif qui regroupe une quarantaine d'associations.
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L'épreuve de maths en breton au bac : le flou des propos du ministre Jean-Michel Blanquer
Source : - France 3 Bretagne
Date de parution le 29/11/2019Le ministre de l'Éducation nationale était déplacement ce 29 novembre dans le Finistère. Il a d'abord annoncé le matin que les lycéens pourraient passer deux épreuves en breton dont les mathématiques, créant le doute sur la possibilité de passer la discipline en breton au bac. Mais ...
Au micro de nos confrères de France Bleu Breizh Izel que Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, annonçait ce vendredi matin que les lycéens des filières bilingues pourraient désormais passer une deuxième épreuve du baccalauréat en breton. A celle d'histoire-géographie pourraient donc s'ajouter les mathématiques.